Pendant des années, j’ai accusé les autres d’être responsables de mes échecs et de mes déconvenue. Si je n’étais pas bien dans ma peau c’est à cause de mes parents qui n’avaient pas su me comprendre et mon père qui ne me voulait pas, si je n’étais pas reconnue dans mon travail c’était à cause des « faux- culs » qui faisaient une cour effrénée aux chefs qui bien sûr adoraient ça et ça continuait dans la même veine ….
Enfin vous l’avez compris, j’étais une pauvre petite incomprise et tous les autres se liguaient contre moi pour me faire la vie dure. Jusqu’au jour où j’ai découvert le secret. Bigre, bigre ça ne m’a pas trop plu sur le moment et il est probable que beaucoup d’entre vous seront dans le même état d’esprit quand ils écouteront la vidéo et pourtant … ce SECRET peut changer radicalement votre vie
On ne fait jamais d’erreurs, on ne vit que des expériences
ALORS QUEL EST CE SECRET ?
Il s’appelle LA RESPONSABILITÉ, prendre la responsabilité de vos actes, de vos paroles, de vos décisions, de vos erreurs, de vos échecs,
en résumé c’est comprendre
pourquoi vous attirez toujours le même genre de situation
pourquoi vous attirez dans votre vie des gens agressifs/escrocs/menteurs ou d’autres …
pourquoi vous rencontrez des gens qui semblent vraiment vous faire tourner en bourrique
pourquoi vous vivez des moments difficiles voire catastrophiques
pourquoi vous tombez malade ou pourquoi vous avez avec fréquences des accidents
etc …
LE SECRET C’EST CHANGER DE PERSPECTIVE
Pour changer de perspective, vous pouvez vous poser une ou plusieurs des questions suivantes selon les circonstances :
Pourquoi Dieu(si vous êtes croyant) l’Univers , la Vie m’envoient-ils cette épreuve, cette difficulté, ce problème, cette maladie … ?
Qu’ai-je à je comprendre de cette situation ?
Comment en suis-je arrivé(e) ) là ?
Qu’est-ce qui « cloche » dans ma vie ?
Quelle est ma part de responsabilité dans ce qui m’arrive ?
Quelle expérience positive puis-je tirer de tout cela ?
La situation difficile est un maître pour vous
La personne avec laquelle vous avez des difficultés est aussi un maître, cela ne veut pas dire qu’elle est supérieure à vous , cela veut simplement dire que c’est un maître qui vient vous enseigner des choses à apprendre sur vous. IL N’EST QUE LE MESSAGER, celui ou celle qui va vous permettre de comprendre ce qui se passe à l’intérieur de vous
La maladie vient vous apprendre quelque chose sur vous, sur ce qui cloche dans votre vie, elle vous demande d’arrêter et de vous pencher sur votre vie, de voir ce qui ne va pas ce qui vous frustre ou vous met en colère ….
EXERCICE : C’est à vous maintenant, faites la liste de personnes ou situations difficiles de votre vie et voyez ce qu’elles sont venues vous apprendre
« Il n’y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n’y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel. S. S. le Dalaï Lama »
merci pour les conseils judicieux! plus faciles à dire qu’à faire, mais commencer c’est déjà un premier pas vers le bonheur!!!
Bravo Sylviane, je vois que tu n’as pas perdu ton punch 😉
En accord avec toi pour dire de sortir de la victimisation pour avancer, il clair que nombre d’entre nous sont atteints par cette « maladie », surtout en France, grand pays consommateur de tranquillisants et autres anti-stress.
Le problème est que ces personnes ne savent pas (ou ne veulent pas savoir) que ces médicaments ne font qu’endormir les problèmes, mais ne les résolvent pas ! A chacun d’oser se remettre en cause …et découvrir « le maître » dans chaque situation.
Un vaste sujet sur lequel nous pouvons nous pencher sans cesse !
Au plaisir de te lire 😉
Merci! je suisune lectrice et auditrice fidèle de ton site.
C’est vraiment une grande aide pour moi,sur des sujets dans lesquels je me reconnais tellement…
On peut dire qu’ils tombent à pic, j’essaie ensuite d’avancer avec ces conseils et ces nouvelles perspectives!
Encore du travail,mais c’est très réconfortant d’avoir un site comme celui-ci, qui partage.
Tous mes encouragements,
Bonjour Sylviane,
Tout d’abord grand merci pour cette délicieuse photo du chat.
Tu l’as prise ? C’est vraiment le genre de « c’est pas moi » que je vis constamment avec tous mes minous.
Voilà un article qui devrait beaucoup déranger, mais tu nous rends service Sylviane !
Tous nos tourments sont liés à ce refus de chercher à comprendre, de nous responsabiliser.
Actuellement la victimite est devenue permanente, une manière de vivre. Rien ne m’agace plus.
Je sais bien que c’est terrible à vivre les emm…à répétition.
Mais il faut bien voir que se plaindre des autres est un refuge facile. Ne pas être dupe de soi, c’est plus digne, mais plus difficile c’est certain.
On est loin des vacances avec toi ! Quel boulot !
Amitiés.
Marie.
Le sujet de ton article est bien vaste Sylviane et très intéressant !
Il y a tant de choses à dire…
Cela me fait penser que toutes les difficultés qui peuvent survenir dans tous les domaines de la vie, et les émotions négatives qui les accompagnent, ont tendance à décourager la plupart des gens, les empêchant de prendre les bonnes décisions…
De mon avis, apprendre à gérer ses émotions devient une obligation, dans ce cas, si on souhaite avancer dans le bon sens.
Les émotions de plus de 70% des gens sont à tendance négative au quotidien et malheureusement ils poursuivent dans leur élan sans se poser plus de questions.
Si on veut apprendre à gérer ses émotions et changer sa manière de penser il me parait inévitable de savoir s’analyser, d’apprendre à se connaitre pour identifier ces émotions.
Voici ma petite technique :
Tout d’abord, en fonction de la situation, j’essaie dans la mesure du possible de mettre un nom sur mon émotion, que ce soit la peur, la joie, la colère, le désir puissant…
Ensuite, j’essaie toujours au mieux de repérer les pensées qui me traversent l’esprit dans la situation dans laquelle je suis et enfin j’examine comment ma physiologie est dans ces cas-là.
Cela me permet de savoir quel est mon comportement, ce que je ressens exactement pendant cet événement précis et donc pourquoi je me comporte ainsi.
Par exemple : le fait de savoir ce qui m’a mis en colère, et mon comportement à ce moment, le fait de me rendre compte que cette émotion négative m’a fait perdre le contrôle de moi ou m’a fait faire quelque chose qui m’a apporté de la douleur, me fait m’examiner comme il le faut.
Ainsi, les prochaines fois je peux identifier l’arrivée de la colère ou soupçonner son apparition imminente lorsqu’une situation se répète et ne pas réitérer mon erreur.
Je peux ainsi mettre en place un autre comportement, ressentir d’autres émotions, bien évidemment positives par rapport à la situation précise qui m’a fait sortir de mes gonds.
On peut transformer le négatif en énergie positive qui donne la force d’aller plus loin et dans le bon sens.
C’est utile d’en parler pour une amélioration continue, vers un bien-être certain.
Je te félicite d’ailleurs pour cet article-vidéo et suis toujours autant enthousiasmé par ton dynamisme !
A bientôt !
PS : j’ai entendu dans la vidéo que tu avais 70 ans, je suis admiratif, tu ne les fais pas… Bravo encore et au plaisir de te lire 🙂
Bonjour Sylviane,
Fabuleuse cette citation du Dalai Lama.
Avec Ho’oponopono, ce n’est pas moi qui
te contredirai à propos de la responsabilité
à 100%.
Même si cela est exigeant, c’est beaucoup
de pouvoir personnel à la clé!
« Il n’y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n’y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel ». S. S. le Dalaï Lama
Elle est jolie cette citation. Je la trouve juste.
J’essaie de lire le ciel et d’écouter ce que mes guides me soufflent. Même si je les trouve bien moins bavards que je le souhaiterais. Et même si je me trompe souvent dans mes interprétations.
Je pense que bien avant d’arriver sur cette terre, nous avons fait le choix de notre vie à vivre. Si nous savions lire le ciel, nous ne devrions pas être étonnés… Moi, je ne le suis pas, mais je suis impatiente. Je voudrais que tout aille comme je le désire sur l’instant, et non comme dans le contrat que j’ai « signé » dans une autre vie…
Cependant, il y a plein de ressentis et d’intuitions qui guident mon chemin. Ca ne le rend pas plus facile, mais ça m’aide à accepter ses aléas. Je l’ai choisi, et je sais que je ne chemine pas vraiment seule. Une bienveillance céleste m’entoure et me relève quand je trébuche. Je ne me sens pas en danger, ni mes enfants.
C’est pour ça que je dis rarement « c’est pas de ma faute ». Si, ça l’est de ma faute, parce que je m’entête, parce que je n’écoute pas ma voix intérieure, parce que je sais quand je me trompe et que je fais les mauvais choix. Et que je les fais quand même… Alors je m’en veux, mais j’assume bien mieux que jadis….
Et j’essaie de positiver et de voir la vie avec des « lunettes roses » aussi souvent que possible. En général, une pause d’une nuit suffit. J’ai ainsi avalé bien « des couleuvres », des trahisons, des mauvais coups. J’ai pardonné presque tout. Je suis si différente aujourd’hui que je ne peux qu’en remercier le « ciel ». J’ai encore des doutes sur l’avenir, mais je veux rester confiante et croire que tout cet apprentissage m’ amènera, de plus en plus, à prendre les bonnes options !…
B.
Vous avez tout à fait raison, ce ne sont pas les autres qui sont responsables de ce qui nous arrive. Mais c’est très dur à accepter et beaucoup de personnes refusent absolument de se remettre en cause, ou même d’apprendre de ce qui leur arrive. Je l’ai souvent observé avec les salariés qui commettent des fautes au travail. On a beau essayer de les aider à se corriger, mais pour ceux tout est de la faute des autres. Alors, souvent ils continuent jusqu’au licenciement.